Souvent, l'on voit au sommet des immeubles d'immenses terrasses couvertes avec des plafonds très richement décorés.
Au rue succèdent les places, comme la piazza della republica ou
celle de Santa Croce.
Santa Croce, église plus petite mais recouverte de marbre coloré elle aussi.
A l'intérieur s'y trouve un très grand cloître.
De beaux vitraux et
peintures et une très belle charpente en bois peint.
Elle renferme la tombe de plusieurs grans hommes dont Galilée.
A l'ouest, de l'autre côté de l'Arno, les immeubles sont moins imposants et les ruelles plus étroites.
Immense galirie de part et d'autre d'une cour avec plafond peint.
La Vénus de Boticelli.
Le ponte Vecchio vu de la galerie et départ du passage reliant les deux palais.
L'Italie et en particulier les grandes illes font la place belle aux scooter. On comprend pourquoi. Ca fluidifie la circulation. Ils n'ont pas froid aux yeux. Ca dépasse de tous les côtés et ça roule...
Aussi, il existe de très nombreuses places de parking pour scooter : 127 alignés dans cette rue et 25 vélos.
Les glaciers aussi font légion et on en a profité.
Pour les bruscietta, il fallait un goûteur.
Avant de partir, nous sommes allé faire un tour au marché couvert dans l'empire des charcutiers.
Seul petit bémol, le logement dans les grandes villes : cher et pas génial. Les sommiers sont défoncés et en plus, il y a des bêtes : puces ou ... qui aiment Philippe.
On quitte Florence par la porte de la liberta.
Au passade, en remontant le long de l'autoroute, on passe dans la région de Carare avec ses usines de marbre et
ses énormes blocs.
Tout au long, on trouve les villages perchés avec leurs grosses églises.
